Je sais que tu comprends parfaitement ce ressenti Thierry, après les raisons sont personnelles, et donc différentes, mais je sais que tu comprends. Je t'embrasse fort.
Beau message Karl, que je vais très mal résumer, car le faire c'est déjà l'amputer : vis ce que tu as à vivre en étant ce que tu es, arrêtes de rêver, vis... (une citation dont je ne connais pas l'auteur : il vaut mieux vivre ses rêves que de rêver sa vie).
10 commentaires:
Ah ! s'envoler.... Certains jours, on regrette d'être un primate évolué au sein d'une "civilisation", hein ?
Regardais-tu vers l'Orient ?
Je pense comprendre, oui. Parfaitement, même.
Je t'embrasse fort.
L'oiseau
Moi aussi, je pense comprendre, Kat.
Aussi, je te fais un doux câlin.
Je t'embrasse fort, petite soeur...
Oui Anne des ocreries, on regrette surtout de ne pas oser s'envoler, de ne pas se laisser pousser les ailes...
Sourire Philippe, je n'ai pas fait attention, je ne voyais pas le bout du tunnel, était-il à l'Ouest, moi un peu (sourire), ouà l'Est... ?
Je sais que tu comprends parfaitement ce ressenti Thierry, après les raisons sont personnelles, et donc différentes, mais je sais que tu comprends. Je t'embrasse fort.
Je te souris simplement Françoise, tu comprendras aussi, je t'embrasse très fort, merci.
Tapis rouge ?
Chaîne de montage ?
Pont d'Avignon ?
L'oiseau n'en a cure,
sans cervelle, que l'instant présent.
L'homme aimerait être oiseau
mais conserver son cerveau.
Ce serait catastrophes,
embouteillages.
Oiseau: reste un oiseau.
Homme: tu ne peux "rester".
Va donc où bon te semble,
quitte à y laisser quelques plumes.
Beau message Karl, que je vais très mal résumer, car le faire c'est déjà l'amputer : vis ce que tu as à vivre en étant ce que tu es, arrêtes de rêver, vis... (une citation dont je ne connais pas l'auteur : il vaut mieux vivre ses rêves que de rêver sa vie).
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