
Un air de gavroche,
La casquette vissée sur la tête,
L’air volontaire,
Petit Homme…
Son monde lui semble immense,
Même s’il se résume à là où il peut aller…
J’ai pris conscience après l’enfance,
En scrutant allongée dans l’herbe un ciel étoilé,
En voyageant et en regardant vivre chacun dans « son monde »,
Qu’à tout instant, des vies se déroulent en simultané.
Le monde est petit et si grand…
L’ubiquité nous manque…
8 commentaires:
Joli texte, belle photo...
Mes origines cantonnaises vibrent fort, car l'Asie est importante dans mes racines.
Merci Jorge, je te fais un grand sourire
Oh non, Kat, l'ubiquité ne nous manque pas. Comment pourrions nous savourer le moment si nous en vivions plusieurs à la fois ? Il nous faut aller à la découverte du monde, oui, mais "heureux qui comme Ulysse". Oh oui, le retour est si bon.
Je t'embrasse.
Thierry
L'ubiquité nous manque-t-elle ou en sommes nous insconscients? Et si nous étions à la fois partout et ici?L'égo va ruer dans les brancards à cette idée. Sommes nous que notre égo?
J'adore les fraises des bois.
Cliché fort réussi!
Thierry, je pensais à une ubiquité à la demande, sur mesure... liée à la pensée, au ressenti... Je t'embrasse aussi
Phil Ozoff, bienvenue, d'origine russe ? Sourire. En lisant votre commentaire après ce que je viens de dire à Thierry, je me dis qu'effectivement, la pensée nous donne un peu ce don, nous nous transportons, nous sommes partie d'un tout, oui...
Faramineux, oui très belle cette photo, elle n'est pas de moi... mais libre de droit, je n'en connais pas l'auteur(e)...
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