
Où, en passant par hasard, mon regard se fixe,
L’objectif éternise…
Parce que je me dis que je vivrais bien ici,
Je sens que j’aimerais lire sur cette terrasse discrète,
J’aurais plaisir à ouvrir ces volets bleus le matin,
Les yeux encore ensommeillés,
Découvrir encore et encore cet endroit…
Un peu comme quatre yeux qui se croisent,
Et se reconnaissent,
Un instant qui se fige et persiste,
Même si chacun continue sa route…
L’intuition des correspondances…
Un détail cependant…
Je repeindrais la boîte aux lettres…
8 commentaires:
Je laisse néanmoins dans cette boîte.... quelques lettres aussi pérennes que ces vieilles pierres aussi vivantes et enveloppantes que la verdeur de cette vie qui s'accroche...
tu les recomposes, comme bon te semble, pour dire, comme tu le fais si bien, ces petites choses essentielles de la vie...
Luc quel plaisir de te relire ici, quel plaisir... Une des "petites" choses essentielles de la vie, merci beaucoup vraiment, j'espère que tu vas le mieux du monde, je t'embrasse.
La boîte aux lettres, par sa couleur un peu passée, ne dit-elle pas la présence acceptée et attendue du monde extérieur qui ne se plie pas à nous tout en proposant une alliance ?
En passant
Très belle image, En passant, je ne la repeindrais pas alors, non comme une "soumission" mais comme une volonté et un choix, vu sous cet angle...
Une maison aux volets bleus... comme la mienne. J'aime les maisons aux volets bleus...
Douce nuit à toi, Kat Imini.
Je t'embrasse.
Je ressens les mêmes choses que toi en regardant cette photo et j'encastrerais la boite aux lettres dans le mur !
Je t'embrasse aussi Françoise et te souhaite une belle fin de journée.
Bon d'accord Jean, celà n'empêchera pas de repeindre sa porte en bleue... Sourire, je t'embrasse.
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