
Elle a décidé de prendre de la hauteur…
Elle a pris cette décision soudainement…
Elle n’était pas forcément dans la meilleure tenue pour le faire
Mais peu importe…
Ce qui comptait, c’était le résultat…
Drapée de sa serviette éponge,
(Elle l’était elle-même éponge),
Elle se jucha sur un tabouret de fortune
Et entreprit de s’élever au-dessus de la situation…
L’occasion faisant le larron, la larronne…
(J’ai vérifié, bien qu’assez vilain phonétiquement, ce mot existe)
Elle décida d’en profiter pour ranger ses placards,
Traquant les cadavres qui pouvaient y séjourner
A titre d’anecdote, un tant soit peu révélatrice,
Elle ne pouvait pas s’endormir,
Elle se relevait même…
Quand une porte d’armoire n’était pas fermée
Dans la pièce où elle dormait…
Un bon tri ne ferait pas de mal…
Un nettoyage de printemps avant l’heure
Comme pour l’encourager à venir au plus vite…
217 commentaires:
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Monsieur Bouton, vous avez fait très fort, sans le savoir je pense, vous avez tourné la page des commentaires en revenant au titre de cet article qui les a suscités. Etonnant non ? J'en suis étonnée... Sourire. J'espère juste que ce n'était pas votre manière de boucler la boucle.
"sans le savoir je pense,"
com du 15 avril 2009 00:05)
com/com:le choix se fait en cliquant sur "publier commentaire".
sans le savoir, je pense.
Monsieur Bouton, je me doute que le choix se fait en cliquant sur "publier commentaire", quand je disais "sans le savoir" c'était pour souligner que vous ne saviez pas, je suppose, que vous alliez tourner une page des commentaires... Est-ce plus clair ?
un mois plus vieux
Monsieur Bouton, un mois plus vieux, un mois heureux... En Mai, fais ce qu'il te plait...
Plaît-il?
"Monsieur Bouton, un mois plus vieux, un mois heureux... En Mai, fais ce qu'il te plait...", sourire...
rien à redire
un mois plus vieux
Sourire, j'ai plaisir à penser que chaque mois j'aurai quatre mots de vous. En juin, l'été le 21... (vous pouvez revenir entre temps, si vous le souhaitez)...
"En juin, l'été le 21... "
quatre mots d'émois?
Oui, touchée par votre "ponctualité"...
"el que se va sin despedirse vuelve sin llamar"(dicho argentino)
traduction:"celui qui s'en va sans faire d'adieux revient sans prévenir" (proverbe argentin)
qu'est-ce que je disais!
Mais Monsieur Bouton ne savez-vous pas encore que vous êtes ici chez vous, la porte vous est grande ouverte, je vous attendais... sans attendre... en sachant que vous reviendriez peut être.
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