wBelle photo, assurément, mais son expression est ambigüe... un peu de lassitude, d'exaspération calme, aussi, comme si elle trouve qu'on la sollicite trop et qu'elle n'a pas le temps de se préserver suffisamment pour survivre sereinement. Un temps de réflexion est nécessaire... Je me trompe ?
Disons que tu as bien choisi ton image.Et je repense à une insulte de la fin, qui résonne encore à mon oreille : -Tu prétends aimer les femmes mais tu ne comprends rien aux femmes. Elle m'a fait mal.
Sans doute, tu as raison... Faire mouche ou faire mal ? mais quand j'ai écrit "maintenant" sur el déséo, j'ai eu un retour totalement différent: -tes mots sont particulièrement justes.Tu sais exactement ce que je pense.
Enfin, peu importe, c'est encore difficile mais je suis convaincu d'avoir fait ce que je devais faire. Et aussi, quelque part, je me sens soulagé, malgré la souffrance de la rupture...qui s'estompe lentement.
Conviens qu'une situation de rupture ou de retrouvailles est totalement différente et ne "génère" ni le même regard, ni la même écoute, l'objectivité n'est pas souvent de mise dans des moments où les sentiments sont exacerbés...
Il y a la musique de Satie dans vos yeux madame... Un rien de beauté, un éclat de bonheur, un soupçon de tristesse, un clin d'oeil ironique, quelques noires en mineur mais surtout toutes vos musiques à venir... Je reviendrai souvent sur votre portée...
Ah ! Ah ! Je le sais, tout simplement...parce que j'aime aussi beaucoup ce tempo lent et cette musique à la fois triste, lancinante, nostalgique et belle... ce sont ces dimanches après-midi de pluie qui s'étirent en longueur, un piano que l'on entend au loin, par une fenêtre ouverte, le jardin mouillé, le petit bruit de succion des pneus sur l'asphalte...enfin tu sais bien de quoi je parle.
Julie, j'ai toujours du plaisir quand tu prends le temps de poser tes mots ici... Je te redis à quel point je suis admirative de ton énergie, de ton émerveillement, de ton ouverture d'optique (pour l'appareil photo et pour l'oeil qui choisit l'image et le doigt qui dit "go"). Je t'embrasse
19 commentaires:
wBelle photo, assurément, mais son expression est ambigüe... un peu de lassitude, d'exaspération calme, aussi, comme si elle trouve qu'on la sollicite trop et qu'elle n'a pas le temps de se préserver suffisamment pour survivre sereinement.
Un temps de réflexion est nécessaire...
Je me trompe ?
Non Jorge tu ne te trompes pas, soit tu es très fort, soit j'ai bien choisi la photo, les deux en fait je pense...
Disons que tu as bien choisi ton image.Et je repense à une insulte de la fin, qui résonne encore à mon oreille :
-Tu prétends aimer les femmes mais tu ne comprends rien aux femmes.
Elle m'a fait mal.
Parfois aussi, les mots dépassent la pensée et sont dits pour faire mouche...
Sans doute, tu as raison...
Faire mouche ou faire mal ?
mais quand j'ai écrit "maintenant" sur el déséo, j'ai eu un retour totalement différent:
-tes mots sont particulièrement justes.Tu sais exactement ce que je pense.
Enfin, peu importe, c'est encore difficile mais je suis convaincu d'avoir fait ce que je devais faire.
Et aussi, quelque part, je me sens soulagé, malgré la souffrance de la rupture...qui s'estompe lentement.
Conviens qu'une situation de rupture ou de retrouvailles est totalement différente et ne "génère" ni le même regard, ni la même écoute, l'objectivité n'est pas souvent de mise dans des moments où les sentiments sont exacerbés...
Je pense à une toile d'Odilon Redon avec les yeux fermés... Le même abandon et ici, le regard au delà de l'instant. Transparent dans la lumière
Il y a la musique de Satie dans vos yeux madame... Un rien de beauté, un éclat de bonheur, un soupçon de tristesse, un clin d'oeil ironique, quelques noires en mineur mais surtout toutes vos musiques à venir...
Je reviendrai souvent sur votre portée...
pour mettre un sourire sur ton visage et un peu de baume au coeur, il te faut du Porto.
Je t'embrasse ma Kat
Une anonyme
Ah ! les gymnopédies des dimanches pluvieux...
Jean est-ce "closed eyes" exposée au Musée d'Orsay ? "Le regard au delà de l'instant", j'aime beaucoup, je t'embrasse
Que vos moments s'égarent souvent ici, j'en fais le voeu, je fais le souhait aussi que mes portées soient à la hauteur...
Sourire ma belle, il est des souvenirs impérissables, notre Porto est d'une cuvée exceptionnelle, inoubliable...
Jorge, comment sais-tu que j'aime beaucoup ce morceau de Satie ?... Encore ton intuition légendaire, merci de tes visites assidues, Ami...
Ah ! Ah ! Je le sais, tout simplement...parce que j'aime aussi beaucoup ce tempo lent et cette musique à la fois triste, lancinante, nostalgique et belle...
ce sont ces dimanches après-midi de pluie qui s'étirent en longueur, un piano que l'on entend au loin, par une fenêtre ouverte,
le jardin mouillé, le petit bruit de succion des pneus sur l'asphalte...enfin tu sais bien de quoi je parle.
Oui Jorge, je sais très bien de quoi tu parles...
triste, oui, pour crééer il faut du temps à soi, il faut se ressourcer de temps en temps, on est déprivé quand ce n'est pas possible
Julie, j'ai toujours du plaisir quand tu prends le temps de poser tes mots ici... Je te redis à quel point je suis admirative de ton énergie, de ton émerveillement, de ton ouverture d'optique (pour l'appareil photo et pour l'oeil qui choisit l'image et le doigt qui dit "go"). Je t'embrasse
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