(Merci à Philippe pour ces deux photos)Vestiges d’un ponton ...
Laminés par le ressac…
Usés par le sel et le vent… ?
Xylophones verticaux…
Qui restent sans voix.
Le soleil leur donne encore
Des illusions de grandeur…
Jusqu’à ce que la nature
Remporte définitivement le combat…
10 commentaires:
Que d'eau que d'eau, disait Mac Mahon lors des légendaires inondations.
On dirait que la proximité de la mer t'attire. Elle finit toujours par tout user, tout recouvrir,lentement, patiemment, inexorablement...
Bonne soirée à toi, Kat Imini, et merci pour les mots que tu as déposés chez moi, hier soir. Je te répondrai plus longuement demain en veillée.
Douce nuit à toi.
Je t'embrasse fort.
Jorge, c'est l'Océan surtout qui m'attire, bien que plus imprévisible, plus fougueux que la mer...
Merci à toi Françoise, douce nuit, je t'embrasse
J'aime les bois flottés, déja travaillés par l'océan. Des sculptures naturelles plantées par l'homme et qu'il ne reste plus qu'a exposer ! soclées à l'abri du temps!
biz
Oui Jean, ils sont très souvent étonnants ces bois flottés, comme adoucis, la matière même en semble changée... Bizzz
Le deuxième cliché, avec ce jeu de lignes parallèles, pas toutes droites, et cette lumière qui creuse le relief, ce cliché est tout en embruns. Magnifique.
En passant
Oui, En passant, ces photos sont très belles...
Tes mots sur mes images sont toujours un délice...
Bien que sur la première les goélands mettent les points sur les i, la seconde, avec ses lignes, a « un p’tit quelque chose en plus », je suis d’accord avec « En Passant ».
L’image (photographique) n’existe que pour les yeux qui la regardent…
Philippe
Ce sont tes photos qui suggèrent mes mots Philippe...
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