(Merci à Philippe pour ses photos qui me parlent tant)
Ne pas trop s’avancer,
Observer,
Mikado de la vie,
Le bateau qui passe…
Tentation de s’approcher
Sans rien faire bouger,
Au cas où…
Les œillères sont de bois,
Mais le cadre est posé,
Le bateau passe encore,
Plus vite,
Semble-t-il…
Relativité…
Encore un pas de plus…
Ne pas trop s’avancer,
Observer,
Mikado de la vie,
Le bateau qui passe…
Tentation de s’approcher
Sans rien faire bouger,
Au cas où…
Les œillères sont de bois,
Mais le cadre est posé,
Le bateau passe encore,
Plus vite,
Semble-t-il…
Relativité…
Encore un pas de plus…
L’horizon se dégage,
Il est juste doublé,
D’un autre un peu plus vague…
Par peur de se noyer…
Elle prend un peu de recul…
Il est juste doublé,
D’un autre un peu plus vague…
Par peur de se noyer…
Elle prend un peu de recul…
13 commentaires:
Commences à mettre des sous de côté, et offres-toi ça au moins une fois dans ta vie, tu le mérites bien ! Perso, j'en rêve ! Ta maman de nouveau hospitalisée ? c'est désagréable, mais ça te fais tout de même un poids de moins sur les épaules, puisqu'elle est prise en charge....souffle, ma Kat, souffle un peu ! Tu n'as plus tout ce fardeau à porter seule...
je t'embrasse !
Bonsoir kat,
il n'est au monde nulle croisière
que l'on ne puisse rêver de faire,
Et souvent, vouloir, vouloir vraiment,
mais aussi le préparer patiemment,
Permet de s'offrir une chimère.
Courage mon amie
Anne et Jorge, je ne rêve pas de croisière, je pense, c'est tout personnel, que je détesterais, me sentir enfermée même sur l'océan ne me conviendrait pas. Mon texte "imagé" n'était que comparaison entre l'EnVie et la passivité... Je vous embrasse tous les deux et vous remercie de vos mots, Mes Amis.
L'envie et la passivité... comme ces mots me parlent, ma douce Kat...
Je suis désolée pour ta maman. Elle n'était sans doute pas encore assez en forme.
Profites en pour te reposer un peu.
Je pense à elle et à toi.
Je t'embrasse très très fort, petite soeur.
PS : je crois que je vais bientôt descendre exprès à Lyon pour aller boire un thé avec toi... sourire
Je sais qu'ils te parlent Françoise ces deux mots, autant qu'à moi. Maman est hospitalisée pour un nouveau problème, pas vraiment plus simple donc. Pour le thé c'est quand tu veux, tu dis et je viens te chercher à la gare, sourire, je t'embrasse fort.
je comprends tes soucis, tu connais les miens.Partir, c'est mourir un peu mais mourir c'est partir beaucoup, hein ?
je n'ai donc pas bien compris la métaphore du bateau mais je peus te dire que nul enfermement ne sen ressent en croisière, au contraire.
Mais peu importe, au fond.
Ces bâtons pingouins, je les aime. Statiques, font parler d'eux, ne bougent pas d'un centimètre du sable et font rêver aux paquebots !
Dis-moi la recette de m'ancrer sous terre et faire rêver croisière!
Je rêve à un second livre, FEU SAUVAGE, dénué de vulgarité, océanique en sensualité. J'avance, comme un titan amputé, attendant d'être secondé par une nymphe. Elle est près de moi, mais ne le sait pas encore... Mon dernier en ligne la fera sauter du train ou me sauter dans les bras.
« Que les ombres mouvantes,
Sur le sable échouées
Semblent s’embrasser,
Retrouvailles agréables,
Et plutôt rassurantes… »
J’ai fait la photo en voyant les ombres s’embrasser et c’est en lisant (enlisant ?) tes mots que j’ai compris que c’était des retrouvailles ;
« Les ombres mouvantes », ont-elles le droit à l’image ? Peuvent-elles me poursuivre ?
J’ai été ravi de trouver « la baigneuse » pour conclure la série, elle posait dans une vitrine d’un magasin malouin, je ne pouvais passer près elle sans la prendre (ce n'est pas un lapsus).
Oui Jorge, mourir c'est partir beaucoup, c'est joliment dit.
A fleurs de peau, ce livre n'attend que de surgir, quant à la recette, je suis certaine que tu l'as...
Heureuse que mes mots ne t'aient pas dérangé, au contraire même, tes photos sont des livres à une page. Je t'embrasse Philippe.
Je suis flatté !
Philippe, tant mieux, c'est sincère et juste.
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