Pourquoi ne pas s’offrir ce que l’on désire lorsque le désir vous prend ?
Pourquoi ne pas se laisser aller à soi ? S’accorder des temps de répit, des moments précieux, attendus, comme il est si naturel souvent de le faire pour les autres. Se donner du plaisir, s’en délecter, s’en nourrir, recharger les batteries internes, céder au vent de folie qui parfois nous effleure…
Il est si facile de trouver des raisons de ne pas le faire, la plus banale étant «ça ne se fait pas», tout est dit, prouvé, sans aucun argument. Et puis si « ça ne se fait pas », oser transgresser serait presque culpabilisant…
J’imagine le moment où elle a décidé de se baigner dehors dans cette grande bassine, cette baignoire improvisée… J’imagine l’instant où cette idée a germé dans son esprit, le sourire qui a dû pointer sur ses lèvres, du genre « même pas cap ! ». Son empressement à se déshabiller avant de trop réfléchir… Elle en a gardé ses chaussures… Et là, elle goûte le bien être espéré, le soleil sur sa peau, la fraîcheur de l’eau qui la caresse, et aussi son audace dont elle est fière
Pourquoi ne pas se laisser aller à soi ? S’accorder des temps de répit, des moments précieux, attendus, comme il est si naturel souvent de le faire pour les autres. Se donner du plaisir, s’en délecter, s’en nourrir, recharger les batteries internes, céder au vent de folie qui parfois nous effleure…
Il est si facile de trouver des raisons de ne pas le faire, la plus banale étant «ça ne se fait pas», tout est dit, prouvé, sans aucun argument. Et puis si « ça ne se fait pas », oser transgresser serait presque culpabilisant…
J’imagine le moment où elle a décidé de se baigner dehors dans cette grande bassine, cette baignoire improvisée… J’imagine l’instant où cette idée a germé dans son esprit, le sourire qui a dû pointer sur ses lèvres, du genre « même pas cap ! ». Son empressement à se déshabiller avant de trop réfléchir… Elle en a gardé ses chaussures… Et là, elle goûte le bien être espéré, le soleil sur sa peau, la fraîcheur de l’eau qui la caresse, et aussi son audace dont elle est fière
12 commentaires:
C'est ce que préconise Rika Zaraï pour améliorer sa propre longévité : le bain de siège à l'eau froide, il paraît que François Mitterrand en était friand...
Quelle forme votre audace prendrait-elle?
C'est vrai, Kat, quel est ton penchant naturel, celui auquel tu résistes pour des raisons qui te sont propres (puisque baignées à l'eau froide) ?
Je t'embrasse fort.
Thierry
si « ça ne se fait pas », alors c'est encore plus enivrante de la faire!
cela dit, la faire, et même ce prendre en photo, de là à la montrer, et encore une autre pas...
j'ai osé des choses quand je croyais personne ne me voit... mais...
Mmmmmmmmmmmm.....YES ! OSER !!!!
Oser, oser, oser !!! Oui, oser !...
Qu'il doit être bon d'oser !... sourire
Jorge : Tu es un tantinet réducteur, ceci n'a rien à voir avec un "bain de siège", c'est un élan, un ersatz de piscine qui supplante ce qu'il veut imiter...
jc : L'audace, je crois, est spontanée, subite, elle ne prend pas le temps de penser aux peurs qui l'empêcherait, mon audace serait donc spontanée, subite, emplie d'une envie à laquelle je voudrais répondre (cette phrase peut être conjuguée au passé, au présent et j'espère au futur).
Bluebird : Mon penchant naturel va vers la vie, l'envie, le "ce serait dommage de regretter", l'eau froide peut aussi être une envie... Je t'embrasse fort.
Julie : J'aime tant ton enthousiasme. Tu as raison, on ose plus facilement "en cachette", j'adore ton "mais... ". Je t'embrasse.
Anne : Je t'imagine... et je t'embrasse fort.
Françoise : Tu viens de poser tes mots, alors tu as "droit" à une réponse particulière. Tu sais, j'ai parfois osé, je ne l'ai jamais regretté, pour d'autres choses je n'ose pas... Oser c'est un choix impulsif, c'est si bon. Je t'embrasse fort.
Oui, oser est un choix impulsif, car je pense que si l'on se met à peser le pour ou le contre, si l'on réfléchit trop, il est trop tard, on n'osera pas...
Bisous du soir, douce Kat.
Françoise, je partage pleinement ton point de vue, pour me rassurer, sourire, je me dis qu'il n'est jamais trop tard pour oser, c'est juste non ? Douce nuit à toi.
Grâce ou à cause de "l'échange de couleurs (9)" que je viens déposer mon petit commentaire après une petite éclipse.
Et pour cause, j'ai la même bassine en fer blanc chez moi dans mon grenier, elle doit dater du début du 20ième sicle, l'époque où les machines à laver étaient un pur rêve et la mère Denis un joli poupon.
C'est pas tout, il me reste à dégoter les mêmes bottes et surtout la photogénique dame qui prend le soleil sans fausse pudeur ni "aversion" pour le métal froid.
Wouahhh, je viens de voir l'échange 5 et 6, promis je reviendrais pour dire mes folies.
Kat, par les pouvoirs qui me conférés je te décerne à l'uninamité le prix arc-en-ciel des mots et des images.
Amicalement, le-barbier.
Quel plaisir de te relire ici, d'avoir à nouveau tes mots à lire, Le Barbier, je me demandais où tu étais parti... Tu as promis de revenir, tant mieux, reviens quand tu le veux, j'ai beaucoup aimé ce prix que tu m'as décerné à l'uninamité, je prends et j'en suis fière. Amitiés sincères.
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