Le sommeil est un refuge, un repos, une attente. Un moment à soi sans soi, pour soi. Elle se donne du temps pour laisser son corps accomplir cette espèce de tendresse de l’abandon.
Elle est fatiguée, plutôt lasse, très lasse. Une sensation de ne même pas pouvoir dormir, d’avoir plutôt envie de fuir.
Elle s’allonge, puis se laisse submerger par des pensées perturbantes, noires, qui n’en finissent pas dans la spirale négative. Elle use alors d’un « truc » que lui avait « enseigné » sa mère, « tirer le rideau », il suffisait de fermer les yeux, d’imaginer descendre un rideau de fer et de se concentrer sur lui, sans penser à rien d’autre, se concentrer sur le noir, quand la lumière est éteinte et les paupières fermées. Cela fonctionne, après quelques secondes d’application, l’esprit lâche, elle s’endort.
Comme un monde parallèle, son sommeil lui ouvre d’autres portes, facilement, elle est bien, flotte, regarde de belles choses, vit des aventures passionnantes.
Ce qu’elle aime dans le sommeil, c’est cet abandon, l’effet de surprise aussi, elle ne sait jamais ce qu’elle va vivre… Comme des trains qu’elle prend sans vraiment savoir où ils la mèneront.
Il lui arrive de cauchemarder, c’est rare, et souvent dans ce cas là, elle se réveille rapidement.
Elle pense que le sommeil est comme une immense bibliothèque où le soir elle trouve au hasard des livres qui l’emmènent ailleurs, à la découverte toujours…
Elle est fatiguée, plutôt lasse, très lasse. Une sensation de ne même pas pouvoir dormir, d’avoir plutôt envie de fuir.
Elle s’allonge, puis se laisse submerger par des pensées perturbantes, noires, qui n’en finissent pas dans la spirale négative. Elle use alors d’un « truc » que lui avait « enseigné » sa mère, « tirer le rideau », il suffisait de fermer les yeux, d’imaginer descendre un rideau de fer et de se concentrer sur lui, sans penser à rien d’autre, se concentrer sur le noir, quand la lumière est éteinte et les paupières fermées. Cela fonctionne, après quelques secondes d’application, l’esprit lâche, elle s’endort.
Comme un monde parallèle, son sommeil lui ouvre d’autres portes, facilement, elle est bien, flotte, regarde de belles choses, vit des aventures passionnantes.
Ce qu’elle aime dans le sommeil, c’est cet abandon, l’effet de surprise aussi, elle ne sait jamais ce qu’elle va vivre… Comme des trains qu’elle prend sans vraiment savoir où ils la mèneront.
Il lui arrive de cauchemarder, c’est rare, et souvent dans ce cas là, elle se réveille rapidement.
Elle pense que le sommeil est comme une immense bibliothèque où le soir elle trouve au hasard des livres qui l’emmènent ailleurs, à la découverte toujours…
6 commentaires:
Oui. Je sais.
Bises, ma Kat..
Oui, Kat, et comme elle a raison ! J'aime m'endormir et partir rejoindre d'autres horizons dans mes rêves. Vivre des histoires passionnantes. Vivre dans un monde parallèle, oui, c'est un peu cela.
Je la comprends, Kat, oui...
Douce nuit à toi, ma douce.
Je t'embrasse fort.
Oui, et oh combien ! Ce moment magique où l'on bascule du réel à l'imaginaire du sommeil, qu'il est merveilleux. Et ce qui s'ensuit ne l'est pas moins.
Je t'embrasse fort, Kat
Thierry
Tant mieux si tu sais Anne, bises à toi.
Françoise, ce que j'aime aussi c'est la surprise, parfois bonne, on ne sait pas à quoi on va rêver... Douce nuit à toi, je t'embrasse fort.
Le monde des rêves Thierry est étonnant, je me demande parfois où ils vont chercher tout ça, je t'embrasse fort.
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