Tout peut arriver…
Un lieu magnifique…
Un nom qui chez nous
Signifie autrement…
Salo…
Pendant deux ans,
Cette ville a été
République de Benito…
Lourd passé…
Elle est là,
Après l’Histoire…
Comment lui garder rancune,
Elle n’a été que l’enveloppe…
On ne peut qu’ouvrir les yeux
Et savourer…
Non loin de là,
Un personnage controversé aussi…
Gabriele D’Annunzio…
Ecrivain et poète,
Fasciste à ses heures…
Sa demeure se visite…
Rajoutant à sa complexité…
Le malaise plane…
J’avoue n’avoir aimé de lui
Que ses mots sur cette stèle
Un lieu magnifique…
Un nom qui chez nous
Signifie autrement…
Salo…
Pendant deux ans,
Cette ville a été
République de Benito…
Lourd passé…
Elle est là,
Après l’Histoire…
Comment lui garder rancune,
Elle n’a été que l’enveloppe…
On ne peut qu’ouvrir les yeux
Et savourer…
Non loin de là,
Un personnage controversé aussi…
Gabriele D’Annunzio…
Ecrivain et poète,
Fasciste à ses heures…
Sa demeure se visite…
Rajoutant à sa complexité…
Le malaise plane…
J’avoue n’avoir aimé de lui
Que ses mots sur cette stèle
Dédiée à Gasparo Da Salo
Inventeur du violon…
Ces mots,
Comme le site,
Valent le regard…
Malgré tout…
« On ne sait pas s’il ouvre sa poitrine
Pour en sortir un violon…
Ou s’il ouvre le violon,
Pour y mettre son cœur… »
Inventeur du violon…
Ces mots,
Comme le site,
Valent le regard…
Malgré tout…
« On ne sait pas s’il ouvre sa poitrine
Pour en sortir un violon…
Ou s’il ouvre le violon,
Pour y mettre son cœur… »
6 commentaires:
En attendant, qu'il a bien fait de l'inventer, le violon, Gasparo ! avec quoi exhalerions nous nos plaintes et nos soupirs, nos tendresses et nos larmes, sinon ?
Si certaines villes ont un lourd passé, elles n'en sont pas moins belles et c'est bien le cas ici. Voilà encore un endroit que je vais inscrire sur ma liste de rêves à réaliser.
Je t'embrasse fort, Kat
Thierry
Les sanglots des violons... Anne, c'est vrai que cet instrument parle au coeur...
Oui tu peux Thierry, j'étais passée à proximité il y a quelques années, j'avoue ne pas avoir fait le détour, et pourtant elle en vaut la peine cette petite bourgade... Je t'embrasse fort aussi.
Oui, souvenir de Pasolini et de son film insoutenable, mais très belle évocation, malgré tout...
Exact Jorge, terrible film effectivement, terrible réalité aussi qui s'est déroulée dans ces lieux.
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