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L’œil ouvert sur le monde,
Sur la vie…
L’œil contact d’âme à âme,
Qui dit tout par transparence…
Même s’il est fourbe,
Cela se voit…
La paupière parapluie,
Qui permet de ciller,
De s’absenter temporairement,
De différer sans se détourner…
Sans fuir tangiblement…
La paupière parapluie
Qui nous protège
D’une lumière trop crue…
Du vent ou de la pluie…
Qui accompagne nos larmes,
Et nos émerveillements…
La « peaupière »…
Jupe qui se fait longue
Retombant tel un silence,
Ou qui se minimise…
Pour laisser l’œil s’écarquiller…
L’œil ouvert sur le monde,
Sur la vie…
L’œil contact d’âme à âme,
Qui dit tout par transparence…
Même s’il est fourbe,
Cela se voit…
La paupière parapluie,
Qui permet de ciller,
De s’absenter temporairement,
De différer sans se détourner…
Sans fuir tangiblement…
La paupière parapluie
Qui nous protège
D’une lumière trop crue…
Du vent ou de la pluie…
Qui accompagne nos larmes,
Et nos émerveillements…
La « peaupière »…
Jupe qui se fait longue
Retombant tel un silence,
Ou qui se minimise…
Pour laisser l’œil s’écarquiller…
13 commentaires:
La paupière qui danse aussi, pour signifier, comme un éventail. Que fait cette silhouette à droite, sinon dire cette chorégraphie subtile ?
nous marchons, probablement tous ou toutes un peu trop souvent la paupière pas tout à fait ouverte, des fois ce n'est pas facile à vouloir l'ouvrir, comprendre et pas seulement voir rapidement en passant.
Quand ferais-tu un livre de toutes ces poèmes et images?
La paupière parapluie permet de se protéger du regard des autres, permet de cacher ses émotions, permet de ne pas se trahir...
Oui, pourquoi pas, Kat, un livre ?... Penses-y... sourire
Je t'embrasse fort, ma belle.
Que fait cette silhouette, En passant, elle a été là pour moi symbole de parapluie qui abrite, protège et se plie si besoin est... Après chacun imagine...
Julie70, c'est toi qui dis ça !Et ton livre c'est pour quand ? Sourire, je t'embrasse.
Françoise, je ne suis pas en mesure de faire un livre, j'ai des mots, oui, j'aime jouer avec, en prendre soin comme je peux. Je vois une image, je prends un fil, mais la bobine n'est pas assez longue pour un livre. Ce blog me fait du bien, j'assouvis mon besoin d'écrire régulièrement et je prends plaisir à vous lire, à vous voir passer ici. Je t'embrasse fort Françoise.
Comme si elle avait refusé l'invitation du parapluie, pour se protéger de quoi ? Puisqu'elle ne craint pas ce qui pourrait venir de l'extérieur, ces quelques gouttes de pluie. Elle craint plutôt ce qu'elle voit d'elle à l'intérieur. Je est un autre..Peut-être est-ce une prise de conscience, en toute humilité, sous le ciel comme témoin.
J'aime beaucoup ton interprétation Corinne, vraiment beaucoup, je serais presque vexée de ne pas l'avoir écrite, sourire, j'espère que tu vas bien, je t'embrasse.
Oui kat, ça va merci !
Ah non, ne sois pas vexée,(sourire bis) puisque c'est toi qui inspire !
bises
Heureuse que tu ailles bien Corinne, la découverte de tes peintures et de tes mots me manquent. Bises.
l'oeil maquillé de verglas
le regard se chauffe
de ses printemps intérieurs...
Le printemps reviendra Luc, nous l'attendons tous, même en plein hiver... Cela ressemble à l'espoir, la renaissance..., la vie qui gagne...
La peau pierre affinée
enfourchette les flocons de pluies
s'étant trompés de saison
saison za saison za saison za
des amours pluvieux plus jeunes
je n'sais plus
Parapluie, mets-toi à l'envers
et te transforme en galère
pour qu'on gondole jusqu'à Venise
sans besoin de faire nos valises
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