vendredi 20 février 2009

365...

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365ème texte…
Comme ces racines
Posées,
Ancrées sur ce mur,
Qui donnent naissance à des branches,
Des feuilles,
Du vert qui pousse du gris,
Je ne pensais pas,
Il y a plus d’un an
Etre encore là ce soir
A écrire modestement…
Un vrai plaisir,
Que je vous dois aussi à vous
Qui passez,
Posez vos mots,
Vos ressentis,
Qui me parlez,
Je vous en remercie
Du fond du cœur
Sincèrement…

6 commentaires:

Jorge a dit…

Racine de banyan...le seul arbre qui marche et se jette dans la mer ?
Nos commentaires constituent donc des ramifications mobiles et évolutives...
J'aime bien l'idée de l'arbre qui marche après celle du fauteuil flottant.
Bisous.

Kat Imini a dit…

Jorge, tu as toujours les références que je n'ai pas. Oui je te remercie, Toi, parmi tant d'autres, mais Toi pour ce que tu es, pour tout ce que tu m'apprends ici et aussi surtout chez toi. Tu es une de ces racines qui fleurit et que j'ai eu la chance de croiser grâce, à l'origine, à ces quelques mots que j'ai posés et surtout à ceux que tu m'as renvoyés. Bisous aussi, sourire. Un 365ème permet quelques libertés...

Françoise a dit…

365e texte déposé...
Ne nous remercie pas, Kat. Si nous venons chez toi, c'est que nous nous y sentons bien. C'est que nous nous y posons naturellement, sans contraintes, pour le plaisir.
Et que tes mots et ton sourire nous incitent et nous invitent à revenir.
Que ton blog continue ainsi encore longtemps. J'aime mes passages chez toi... sourire
Belle soirée à toi, et douce nuit.
Je t'embrasse fort.

Kat Imini a dit…

Françoise, je te remercie déjà de te sentir bien ici, je n'ai jamais anticipé au début de ce blog lire cela un jour. Si en plus, et je le sens dans tes mots, tu y prends plaisir, c'est un très beau cadeau. Et si de surcroit, tu aimes tes passages chez moi, je savoure. Je sais au fil "du temps" et de nos échanges les liens préexistants et ceux qui se construisent entre nous, je t'embrasse fort.

Karl Chaboum a dit…

Les cent doigts de l'arbre ont tant griffé la terre que sa robe verte s'en est allée dans l'étang, mordillée par les poissons gourmands, noyés d'amour caché.

Les cent doigts de l'arbre ont tant et tant pétrie la terre qu'elle a crevée, laissant les semences pénétrer en elle,365 jours durant. Ses enfants ? Magnifiques et verdoyants, si racineux que vivront 365 ans... comme toi Kat Imini ?

Kat Imini a dit…

Merci Karl Chaboum pour tes très beaux mots, je n'espère pas vivre 365 ans, je goûte chaque jour et quand on aime on ne compte pas.