mardi 10 août 2010

La chaleur humaine...

Il est des images incroyables…
Un lac ou la mer en ville…
Improbable…
Il est des moments incroyables…
Des rencontres improbables,
Des moments inoubliables…
Imaginons que cette mer improbable
Qu’est la toile
Amène des êtres à se croiser…
A s’apprécier,
A se connaître un peu…
Beaucoup…
Après, la réalité sera-t-elle compatible ?
Et puis,
Une première approche,
L’année dernière à Lyon,
Le temps de se rendre compte,
Avec étonnement et plaisir,
Mais pourtant sans surprise,
Que oui,
Anne, Marc Olivier, Thierry,
Existent et que je les connais finalement bien…
Les images correspondent,
Le reflet est juste, très juste.
Les cartes ne sont pas truquées…
On peut les retourner…
Et, puis nous récidivons cette année,
Plus longuement,
Grâce à Marc Olivier
Evelyne, son épouse,
Esther et Guilhem, ses enfants.
Ils nous accueillent chez eux,
Plus que chaleureusement,
La « magie » opère à nouveau :
Les fous rires partagés avec Anne,
La gentillesse et la présence de Thierry,
Les attentions et la bonne cuisine de Marc Olivier.
J’avoue en être encore étourdie.
Etonnée, oui, étonnée…
La chaleur humaine
Est une énergie renouvelable,
Qui réchauffe le cœur.
Alors, je tenais à vous dire,
A tous les trois
A quel point,
J’étais heureuse de vous retrouver,
A quel point,
Je mesurai la richesse de notre lien…
Je tenais aussi
A dire toute mon amitié,
Nouvelle,
A Evelyne et ses enfants,


7 commentaires:

Hubert Lemaire a dit…

Cette chaleur humaine, garde-la précieusement au fond de Toi, c'est Elle qui t'aidera à surmonter les moments plus ou moins gris que nous rencontrons tous.
Que cette Amitié devienne ton carburant jusqu'à votre prochaine rencontre!!!
Je t'embrasse.

anne des ocreries a dit…

Kat, tu me manques déjà, vous me manquez déjà, tous, j'ai réellement adoré ces moments de belle vie ! Je reprends du rab sans hésitation, pour quand vous voulez !!!! grosses bises !

une libellule a dit…

La photo est belle comme d'habitude (sourires), elle interroge le regard et pose des questions douces. Le texte est touchant, vous en avez de la chance! A propos de rencontres, si tu ne l'as pas encore lu, il y a un article intéressant dans le télérama de la quinzaine : un entretien avec Alain Badiou (je n'ai pas encore lu le reste du dossier) qui va dans le sens de l'ouverture et du partage. Bises

Françoise a dit…

J'ai bien pensé à vous quatre.
Et c'est bien, Anne n'a pas oublié de te faire un bisou de ma part (sourire).
Oui, gardez bien au fond de votre coeur ce si agréable moment, pour vous le réchauffer les jours de grisaille, comme le dit si bien Hubert.
Cela fait partie de la vie ces petits bonheurs partagés entre amis. Il ne faut pas s'en priver, surtout pas.
Douce nuit à toi, douce Kat.
Je t'embrasse fort.

Jorge a dit…

Ah oui alors,un moment d'une rare qualité, de respect d'autrui, de calme, de sérénité,de bien-être, avec un peu de notre osmose familiale, car ce que nous avons pu apporter aux enfants, c'est la nécessité de s'ouvrir aux autres, mais bien évidemment sur la base de notre propre unité.
En tout cas, ravis de vous avoir revus, tous les trois !

Anonyme a dit…

Belles images, Kat, et très beaux mots pour décrire notre complicité, notre amitié à tous les quatre - ou peut être devrais-je dire sept ?
Je dirais tout comme Anne que c'était trop court et que vous me manquez tous.
Je t'embrasse fort.
Thierry

Kat Imini a dit…

Hubert, c'est difficile de traduire par des mots ce genre de ressenti. Mais tu as raison, c'est comme si j'avais rempli un flacon de parfum dont je pourrai ressentir les fragrances quand bon me semble. Je t'embrasse aussi.

Anne, il semblerait (sourire) que nous avons perçu la même chose, j'avoue que j'aimerais bien à l'instant prendre un de nos fous rires, c'était tellement bon. Grosses bises à toi aussi.

Une Libellule, merci pour le compliment, c'était il est vrai un grand moment cette rencontre bis. Bises à toi et merci aussi pour ta présence renouvelée.

Françoise, oui je les ai eues deux fois tes bises, sur le blog d'Anne quand tu lui as demandé de me les transmettre et quand elle me l'a dit en direct. Les petits bonheurs de ce genre sont le bonheur, je pense. Je t'embrasse fort.

Jorge, oui c'était tout ce que tu décris si bien, merci encore, vraiment.

Thierry, tu me manques aussi, je pense sincèrement que ce que nous avons partagé tous était un grand moment, précieux. Je t'embrasse fort.