mardi 28 avril 2009

Tout est relatif...

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Tout est relatif…
Une course d’escargots…
Paradoxal…
La vitesse l’est aussi,
Toute relative…
Chacun d’eux déploie des efforts
« surEscarguotins »
Pour arriver le premier.
Ils se hâtent…
Très doucement pour nous…
Il suffirait d’un pied malveillant
Pour perturber le tiercé gagnant…
Le petit dernier,
Prend la tangente,
Se disant qu’il vaut mieux,
Sans doute,
S’absenter
Que de s’avouer vaincu,
Il finira bien par se faire remarquer,
Ne serait-ce que par son absence…
Du moins, il l’espère…
Tout ce que je viens d’écrire
N’est qu’imaginaire
Un tantinet allégorique…
En fait, il ne s’agit peut-être
Que d’une famille profitant
D’un merveilleux après-midi
Pluvieux…

11 commentaires:

Nina a dit…

J'en vois deux qui en profitent pour se faire un calin!
Vive la pluie!
Les familles escargots peuvent se promener.
Ramener sa vitesse le temps d'une course d'escargot, ce pourrait être la pensée du jour.
De ce pas, je descends dans mon jardin.

Rom a dit…

En Espagne ils prennent le nom de caracoles.
Traînant ici mais caracolant là-bas ;-)
Bisous, Kat

Françoise a dit…

Moi, j'ai dû être escargot dans une autre vie, car je suis aussi lente qu'eux... enfin, presque... ;-))
J'aime beaucoup cette photo et tes mots qui l'accompagnent, Kat.
Bel après-midi à toi.
Gros bisous.

Kat Imini a dit…

Beau sens de l'observation Nina, sourire. Oui tu as raison, ralentir le rythme fait parfois beaucoup de bien, ne serait-ce que pour voir le temps passer. Quelle chance tu as de pouvoir descendre dans ton jardin ! Je me contente de parler à mes plantes... Mais je savoure de les voir refleurir...

Kat Imini a dit…

J'ai appris quelque chose Rom, c'est joli caracoles. Je t'embrasse.

Kat Imini a dit…

Françoise, as-tu ta maison aux volets bleus sur le dos ? Sourire, douce et bonne soirée (nuit aussi) à toi, je t'embrasse fort.

Françoise a dit…

Oui, Kat. Comment as-tu deviné ?... ;-)
Je ne vais pas tarder à y retourner dans ma maison bleue. L'envie se fait sentir...
Douce nuit à toi, jolie Kat.
Je t'embrasse fort.

Karl Chaboum a dit…

Chapeau, coquets escargots !
Touchez-leur le nez, avec quelle vitesse la chair disparaîtra.

Ainsi sont ceux qui paradent et se font désirer. Un seul regard suffit à les raidir, accélérer la course.

Pourquoi donc s'être faits si beaux s'ils craignent un regard sans malice ?

Cette douce balade escargotine, en une image, vaut mille parades de mode. Sans ail s'il vous plaît...

moments égarés a dit…

En cette ère de la vitesse,
où l'impatience prime...
je préconise la sagesse de l'escargot...
sa lenteur...
pour que le monde change...
faut de la patience...
et de l'abnégation...
admettre que l'avenir
sera la somme
de toutes nos lenteurs...
de toutes nos hésitations...

Kat Imini a dit…

Un brin de persil Karl ? Je ne mange pas d'escargots, je les laisse vaquer à leur rythme à leurs occupations.

Kat Imini a dit…

La sagesse de l'escargot : "admettre que l'avenir sera la somme de toutes nos lenteurs...de toutes nos hésitations...". Oui Luc, à trop vouloir courir, on s'épuise et le monde avec...