
Au risque de lasser…
Encore une ouverture potentielle…
L’hier tentaculaire,
Qui se glisse doucement
Si ce volet ne s’ouvre pas
Il sera recouVert…
La couleur intuitive dont il est revêtu…
Le Vers…
L’hier est une chose
Des racines…
Et je sais,
Elle est facile,
Des ailes aussi…
19 commentaires:
Très joli, cette enfilade de jeux de mots. Un vrai collier de sourires.
Je t'embrasse fort
Thierry
Pourquoi donc nous lasserais-tu, jolie Kat ?...
Cette photo est très belle. Et tu joues admirablement bien avec les mots... Bravo. ;-))
Bonne nuit, douce amie. Dors bien.
Je t'embrasse fort.
C'est joli comme expression "un collier de sourires", je le prends et le pose autour de mon cou, merci Thierry, je t'embrasse fort aussi.
Françoise parce que je reviens souvent sur les portes, les fenêtres, les volets... Sourire, mais j'ai dit "au risque de", j'assume et je suis heureuse que ce ne soit pas encore le cas. Dors bien aussi et fais de beaux rêves, ton portail il est très joli aussi, je t'embrasse fort.
Toc, toc, toc !
tofab
C'est qui ?????????? (tofab !)
Nous en lasser?
Le seul risque encouru est celui de voir, en une idylle étouffante, le bois et le végétal s'enlacer.
Je t'embrasse.
On ne peut lacer que ses souliers...
C'est fort calme ici...
Un petit coucou du matin.
J'espère que tu vas bien, Kat (?).
Belle journée à toi.
Je t'embrasse.
très sympa ce blog , de très belles photos, je suis très attirée aussi par les portes et les fenêtres....
Ton absence nous lasse...
Philippe
Je m'ennuie...
Je reconnais le besoin de faire une pause... Mais ces rendez vous journaliers me manquent
J'espère à bientôt!
Rom, est-ce vraiment un risque ? Je suis vraiment heureuse de te relire ici, vraiment.
Jean-Claude, sourire, certains le croient...
Merci Françoise, oui je vais, tout est un peu compliqué, mais mon silence était surtout dû à la technologie. Je t'embrasse fort.
Rénica, j'ai vu de très belles fenêtres chez toi, j'aime ce que tu en donnes à voir, bravo !
Merci Philippe, je préfère que ce soit mon absence que ma présence, même un moment d'temps, tu me rassures...
Merci Nina, tes mots m'ont touchée, si je m'absente volontairement, je le dis en général, là c'était une impossibilité technique. Me revoilà donc, merci encore.
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