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Tranches de vies…
Des wagons remplis
D’êtres qui vont et viennent,
Qui se croisent,
S’assoient l’un en face de l’autre,
Se côtoient dans un univers sans âme.. ;
La promiscuité sans discernement,
Des nuits blanches,
Des soucis,
De graves ennuis,
Des nuits d’amour,
Des joies,
De grands bonheurs…
Ils ont leur secret dans leur tête,
Ils ne partagent qu’un même espace,
Ils se voient peut être tous les matins,
Ou ne se reverront jamais…
Un laboratoire pour sociologue,
Une éprouvette pour ethnologue…
Un moyen de transport
Qui ne donne plus la sensation de voyager…
Instantané d’une vie de fous…
Enfin, il me semble…
Tranches de vies…
Des wagons remplis
D’êtres qui vont et viennent,
Qui se croisent,
S’assoient l’un en face de l’autre,
Se côtoient dans un univers sans âme.. ;
La promiscuité sans discernement,
Des nuits blanches,
Des soucis,
De graves ennuis,
Des nuits d’amour,
Des joies,
De grands bonheurs…
Ils ont leur secret dans leur tête,
Ils ne partagent qu’un même espace,
Ils se voient peut être tous les matins,
Ou ne se reverront jamais…
Un laboratoire pour sociologue,
Une éprouvette pour ethnologue…
Un moyen de transport
Qui ne donne plus la sensation de voyager…
Instantané d’une vie de fous…
Enfin, il me semble…
6 commentaires:
esthétiquement la chaise laissant dévoiler son assise (du message précédent) est nettement plus agréable et sans doute plus confortable aussi, il me semble (paroles de provinciale...)
Oui ; à moi aussi, il me semble ; ce monde fait de ses habitants des bestiaux consentants à leur propre déshumanisation....
Bises ma Kat, ça caille grave ici ! :)
Lorsque je vais à Lyon ;-), il m'arrive de prendre le tramway, ou le bus, et c'est vrai que, maintenant que j'habite la campagne, tous ces regards perdus dans le vide, ou tous ces regards qui s'évitent, toutes ces personnes si proches et pourtant si loin à la fois, me mettent mal à l'aise.
Je ne sais pas si je pourrais me réhabituer à vivre en ville. Pourtant, elle me manque parfois... Ah la la... indécise je suis, indécise je resterai... sourire
Douce nuit à toi, mon amie Kat.
Je t'embrasse très fort.
Autre trompe l'oeil magistral,(belle suite pour le fond et la forme) ou comment des milliers de quidams qui font semblant de bouquiner, relire, survoler livres et documents afin de s'éviter un vis-à-vis trop invasif... sortis de cet "enfer" trop réel, ils parleront avec émerveillement du tout dernier internaute virtuel cliqué au bout du monde...nos nouvelles "perceptions" nous conduiront inmanquablement tout droit vers un nouveau genre d'autisme endémique !
J'ai par la force des choses abandonné ces transports, cette promiscuité, cette non-vie.
Et j'en suis heureux.
Je t'embrasse fort, Kat.
Thierry
Une libellule, je rejoins tout à fait tes paroles de provinciale...
Anne : Il est vrai que si nous regardons froidement tout cela de l'extérieur, ce n'est pas terrible, de l'intérieur, guère mieux. Bises à toi.
Françoise : Ce n'est pas de l'indécision, tu aimes certains aspects de la ville, pas tous, tu n'as pas tort, tu peux venir quand bon te semble goûter à la vie urbaine, point trop n'en faut sans doute. Je t'embrasse fort.
Le barbier : Je partage ton point de vue, contraste entre la fuite du regard de l'autre, à côté, et la recherche éperdue de relations. Les psychiatres ont de belles heures devant eux...
Bluebird : Je te comprends et je sais que tu sais l'apprécier. Je t'embrasse.
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