En bord de Saône,
Ce n'est pas un brouillard d'hiver,
C'est un voile qui drape le soleil,
Il attend qu'il se lève,
Pour se lever...
(Celui que je me suis "approprié"
Dès que je l'ai vu, face à mon balcon)
En est auréolé...
Ses jeunes feuilles,
Encore repliées sur elles-mêmes,
Prennent des allures
De nuées d'étourneaux
Qui s'envoleront
Au premier rayon...
J'aime déguster ces instants,
Simples et précieux...
4 commentaires:
Ah cette heure magique où la nuit n'est plus et le jour n'est pas encore...
Oui... Mais c'est quand même mieux quand la brume est levée ! ! ! Tu as encore de la brume ? ? ?...(:[
Et dire qu'ici nous sommes déjà en tongs, torse nu ! ! ! Non non... Je n'exagères pas ! ! !...:)
Sourire Armando, c'est sympa de venir par chez moi. Oui une heure magique, en devenir...
Jeff, si tu n'es là qu'à ce moment là, c'est "frustrant", mais voir la brume, c'est beau quand même, puis la voir se lever et voir ce qu'elle voilait, c'est magique ! Je suis en bord de Saône, donc oui j'ai encore de la brume, et j'en suis fière ! Sourire, je ne suis qu'au printemps, les tongues frétillent encore en attendant l'été, chaque chose en son temps... Bises.
C'est tellement beau, aussi, un matin de printemps...!
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