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Tant va la cruche à l’eau…
Qu’à la fin elle nous désaltère…
J’aime cette image,
Contrastée
En couleurs,
Le noir, le blanc,
En durée de vie,
Le plastique et la poterie,
En forme et en fond…
La cruche se rince,
Le gobelet se jette…
J’aime les objets
Qui sont plus qu’utiles…
Qui ne se consomment pas,
Qui s’apprécient…
Sans volonté de retour en arrière,
Juste prendre conscience
Et savourer…
Ne pas oublier par exemple
Que le robinet
Nous épargne la corvée du puits...
Sinon,
Je crains que la cruche
Ne finisse par se casser…
Le toujours plus,
N’amène à rien…
Tant va la cruche à l’eau…
Qu’à la fin elle nous désaltère…
J’aime cette image,
Contrastée
En couleurs,
Le noir, le blanc,
En durée de vie,
Le plastique et la poterie,
En forme et en fond…
La cruche se rince,
Le gobelet se jette…
J’aime les objets
Qui sont plus qu’utiles…
Qui ne se consomment pas,
Qui s’apprécient…
Sans volonté de retour en arrière,
Juste prendre conscience
Et savourer…
Ne pas oublier par exemple
Que le robinet
Nous épargne la corvée du puits...
Sinon,
Je crains que la cruche
Ne finisse par se casser…
Le toujours plus,
N’amène à rien…
7 commentaires:
Oui, bonne conclusion, surtout pour ceux qui courent après le " juste assez" !
Bises ma Kat, bonnes journées à venir !
Bonsoir Kat,
Tant va la cruche à l'eau qu'elle nous désaltère...Beau! Rien que de l'optimiste...j'aime!
La fin de ton joli texte sonne comme une alerte, hé oui...
Et si, pour une fois prochaine, Monsieur Printemps n'arrivait pas à l'heure comme à son habitude, avec sa ribambelle de renaissances...
Sa "manif" à lui,nous rappeler notre petitesse devant sa maîtresse Dame Nature, ramener l'humain décideur à plus d'humilité, afin que ta jolie cruche ne se casse...j'ai espoir!
Il fallait oser le plastique devant la terre. Sauf à reconnaître l'effacement de celle-ci et le triomphe du premier... quoique cabossé.
Anne, pour tout il ne faut pas abuser, sinon c'est sans fin, et la fin ne justifie pas les moyens. Bises à toi, bonne semaine à venir.
Hubert, j'essaie, je m'entraine à voir le verre à moitié plein, sinon il y a de quoi désespérer de la nature humaine. Heureusement, le printemps arrive, même les plantes d'intérieur le sentent et je prends un immense plaisir à les voir bourgeonner, j'essaie donc de me laisser pousser des ailes. A bientôt j'espère.
FM, je n'ai pas vu cette image comme vous, l'arrière plan me semblait plus durable, plus pérenne, les acteurs passent, le décor peut rester, un peu comme dans la vie...
Non, le toujours plus n'amène à rien.
Se satisfaire des choses simples, ne serait-ce pas plus... simple ?...
Mais c'est parfois frustrant de se satisfaire du "juste assez"...
Comme toujours, je suis... entre deux... (sourire).
Je t'embrasse, ma douce Kat.
"Qui s’apprécient" - espérant l'appréciation aussi des autres et ne pas être jeté comme une tasse de papier, le lendemain ou dans un mois.
J'aime bien l'image, que des histoires à raconter autour!
Et tant qu'on va la cruche à l'eau, tant pis, s'il se casse, finalement, après qu'on y pleure, on en trouve un autre ou on le remplace par... tasses à papier.
Françoise, comme tu as raison, sauf sur le ton "négatif" du "comme toujours, je suis... entre deux". La rivière, belle et abreuvante, est bien entre deux rives et cela lui permet de suivre son cours. Je t'embrasse très fort.
Julie et ton regard qui va plus loin, qui ramène toujours à du positif ! Je t'embrasse fort aussi pour cela, c'est tellement toi.
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