Tournée vers la fenêtre…Toute en grâce…
La courbe du cou
Mise en valeur
Par les cheveux relevés…
Qui par ailleurs retombent
En mèches légères
Jouant avec la lumière…
Elle pourrait être statue
Ou Camay…
Mais cette main posée
Comme un point d’ancrage
Donne à voir résonner
Un cœur qui bat…
6 commentaires:
De si petits détails décrits en peintresse. Comme tu le fais si bien !
Nul besoin de détresse pour écrire.
Poursuis ton prolifique travail Kat.
Comme on la sent fragile et forte, souple et ferme ensemble....elle songe ? elle attend ? on n'a pas envie de la déranger...
Chut ! passons sur la pointe des pieds.....
regarder l'invisible
jusqu'à y lire l'indicible...
ps: ça va autant que faire se peut... et toi?
un coeur qui bat...
tournée vers la fenêtre...
elle rêve...
et elle me fait penser à quelqu'un...
sourire
Belle soirée à toi, douce Kat.
Je t'embrasse fort.
Un coeur qui bat , qui attend...un coeur vivant ! bizzz
A fleurs de peau, merci vraiment, j'aime l'idée que des mots puissent être comme des touches de pinceau. Tu as raison, nul besoin de détresse, elle peut parfois inspirer ou paralyser aussi. Après c'est quand les mots viennent qu'il "faut" les laisser venir.
Anne : Je t'imagine bien, le doigt sur la bouche, chuttttt
Moments égarés : "Regarder l'invisible", oui c'est bien ça ! Moi... je vai autant que faire se peut aussi...
Françoise : Maintenant que tu l'écris, oui, moi aussi ces mots me font penser à quelqu'un que j'aime beaucoup. Je t'embrasse fort.
Rénica : J'ai honte, je vais aller chez toi de ce pas, ça fait trop longtemps. Merci de tes passages ici. Bizzzzossi
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