Une ballade en Avignon…La ville vue du Palais des Papes,
Pour changer un peu…
Le vitrail fenêtre…
Pas vraiment envie de l’ouvrir…
Il donne à voir
Des morceaux qui forment un tout…
Certaines « cases »
Sont obturées,
D’autres ouvrent un horizon un peu flou,
Après les mots croisés,
Les images croisées…
La grille est déjà remplie…
Reste à trouver la bonne définition…
Etonnamment,
Le centre est limpide…
Et ouvre encore…
Sur une fenêtre…
De bon aloi…
Me semble-t-il…
15 commentaires:
Bonsoir Kat,
Très belle photo, un peu onirique et inattendue, très beau texte aussi pour une ville que je connais bien et aime particulièrement
"Que TA fenêtre reste ouverte, pour que l'on puisse entendre le chant de ton coeur."
La concierge de l'immeuble où habitait ma tante Anémone
Avignon... un doux souvenir pour moi, lors d'un week-end, lorsque j'étais gamine, un week-end avec mes parents... Epoque lointaine mais chère dans mon coeur.
Douce nuit à toi, Kat.
Je t'embrasse fort.
Parfois, on peut regretter de regarder dehors à travers des vitres simplifiées.
C'est bon de retourner dans le passé et de s'interroger sur celui qui l'a fabriquée: quelle vue voulait-il faire passer?
J'adore ce genre de fenêtres qui floutent l'horizon, déforment les vieilles pierres, nous donnent à voir de nouveaux points de vue, loin des rectitudes de nos vies.
Jorge, j'ai bien aimé cette ville aussi, merci pour les compliments.
Elle disait de belles choses la concierge de ta Tante Anémone !
Bien agréables les souvenirs qui à l'évocation d'un nom, d'un lieu, remontent à nos mémoires. Je t'embrasse fort Françoise.
Un artiste verrier Nina, qui adoucissait la lumière et transfigurait la vue, ses intentions restent "interprétées" par notre regard, mais sont toujours présentes.
Le flou artistique qui adoucit la vue, bien agréable oui, heureuse de te relire ici Autrement moi, bises.
Etonnant, la "vérification des mots" aujourd'hui est "promis". Je ne comprends pas vraiment. A bientôt, c'est promis.
promis
Rire promis, ça tombe plutôt bien, pour le à bientôt.
les fenêtres sont floues c'est à peine si on prend conscience qu'il y a des vies derrière chacune d'rntre elles
et puis la photo nous offre un zoum et l'une d'entre elle devient limpide...sort de "l'anonymat" en fin pas tout à fait, elle se fait remarquer en tout cas ...... Quel visage y apparaitra ? Quels sont ses rêves , son histoire?
Hum me suis trompée de pseudo pour le commentaire précédent ;-)
Bonne journée Kat
Les fenêtres ou les portes d'ailleurs ouvrent sur des lieux de vie, sur des vies donc. Ce sont les limites "franchissables" de l'intimité, mais ne dit-on pas aussi que les murs ont des oreilles, à défaut d'avoir des yeux...
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