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A petite échelle,
De tout ce qui se passe
Au même instant…
Les vaches paissent
Paisiblement,
L’eau suit son cours,
La montagne reste à gravir
Et l’orage fait rage
Dans une zone bien précise…
C’est aussi,
Pour moi,
Cela la magie du voyage…
Nous faire ressentir,
Surtout une fois rentrés,
Que nous étions à tel endroit,
A tel moment,
Que nous n’y sommes plus,
Mais que cependant
Là bas,
La vie continue…
En prendre conscience
Donne une petite idée
D’humanité,
Et ranime aussi la curiosité…
Ailleurs,
Autrement…
Toujours…
11 commentaires:
Bonsoir douce Kat,
Oui, la vie continue, même si nous n'y sommes plus. Je repense à tous ces gens croisés, ce week-end, en Corse, tous ces gens à qui j'ai adressé la parole, tous ces gens qui ont eux aussi leur vie, et que je ne reverrai certainement jamais... Etrange que tout cela...
J'espère que tu vas bien, Kat. Et ta maman aussi...
Je t'embrasse fort. Douce nuit à toi.
Y-a-t-il vraiment un ailleurs?
...et Françoise qui nous dit qu'elle à rencontré des Croisés en Corse. Quelle aventure à suivre...
Oui, il y a à la fois la dimension lointaine qui peut être à notre porte ou au bout du monde...
Et la dimension proche où on rencontre un visage connu à des milliers de kilomètres
La terre n'est pas si grande, il suffit de savoir grimper dans les nuages quand il pleut, le ciel descend ses échelles...
Merci de ton passage chez moi ; tu as de jolis mots aussi ;))
Superbe image insolite et des mots qui collent au temps.
T'embrasse fort
Etrange oui, mais important d'en prendre conscience, cela donne encore plus de sens je trouve. J'espère que ton séjour en Corse s'est très bien passé, douce nuit à toi, je t'embrasse fort Françoise.
Bonne question Jean-Claude, l'ailleurs n'étant jamais présent... Sourire,Françoise vit souvent de belles aventures, elle nous en parlera sûrement.
"La terre n'est pas si grande, il suffit de savoir grimper dans les nuages quand il pleut, le ciel descend ses échelles..." et le peintre du ciel décoche les flèches de son arc, merci Nina
deef, c'est sympa d'être passé !
T'embrasse fort aussi Jean, heureuse de te relire ici (signé : Katouchka, sourire)
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