A lire en ayant faim…Dommage que je ne puisse
Vous faire partager le parfum…
De cette tarte
Magistralement exécutée…
Offerte comme un cadeau
Ce soir…
Je le dis tout de suite,
Je ne l’ai pas faite,
En revanche, je l’ai savourée…
D’abord, du regard,
Cuite à point,
Ambrée et vallonnée…
Et puis, ensuite je l’ai humée…
Un vrai jardin,
La pâte au basilic,
Le chèvre chaud qui fleure bon,
Les courgettes,
Discrètes,
Mais qui osent ajouter leur touche,
Un bouquet olfactif…
Imaginez…
Ensuite,
Une seule envie…
La croquer…
Et alors là,
Les parfums se font saveurs…
Une tarte pleine de sens,
Il ne lui manque…
Que la parole…
Chapeau bas aux deux marmitons…
14 commentaires:
Oh oui, Kat, une seule envie, la croquer !... Et tu vois, là, d'un coup, j'ai très faim... sourire.
Douce nuit à toi, belle amie.
Je t'embrasse fort.
Ben moi je n'aime pas ce genre de truc, mais j'aime l'amitié, le partage, la complicité, et je sais aussi partager sans ne rien dire
Bien qu'il soit 6h30 am GMT +2 et que je vienne de prendre mon petit déjeuner, je salive. Il y en a une autre pour ce soir ? J'arriverai par le train de 17h50 à Part Dieu.
Il y a plusieurs façons de manger, en ne regardant pas ce que l'on mange, en goûtant lentement, silencieusement, en appréciant le travail offert, en savourant des paroles partagées...
Merci de nous l'offrir!
Enfin la fin de la faim.
J'imagine très bien, trop bien ;-(
Je réponds un peu tardivement Françoise, je m'étais un peu absentée, sourire, oui tu sais c'était tellement bon, que si j'y repense (comme on dit à Lyon) son goût me revient. Douce nuit à toi, je t'embrasse fort.
"Ce genre de truc", pas ton genre de parler comme cela Jorge, tu détestes à ce point la tarte à la courgette et au chèvre ?... J'aime aussi l'amitié, le partage et la complicité, les uns n'empêche pas l'autre... En ce moment, il est vrai, je partage tes mots sur ton blog, je ne dis rien, mais je partage aussi.
Bluebird, je vais demander la recette, m'entraîner et ensuite tu prends le train et je viens te chercher à la gare !
Nina, merci pour tes mots, sincèrement.
Jean-Claude et le début de l'appétance...
"Trop bien" Rom, jamais trop bien l'imagination, je t'embrasse.
Le pouvoir des images et des mots de nous faire ressentir des odeurs, des saveurs et d'éveiller la gourmandise rien que par lescouleurs
Mais j'arrive trop tard l'assiette est vide (rire)
11 mai 2009 12:03
Au fil de mes rêveries, merci de ton passage ici, promis la prochaine fois je t'en garde une part.
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