La première ce matin, c'est inhabituel... Dois je ouvrir la page ou partir sur la pointe des pieds? Je l'ouvre pour dire combien je suis touchée par les livres de Khaled Hosseini, par le film et par les amis venus d'Afghanistan il y a longtemps déjà pour dire combien je me sens proche de ce peuple et dire mon impuissance...
Sourire Nina, prem's, j'ai depuis hier soir le projet de lire ce livre. Compliquée souvent la relation "livre/film", mais j'ai envie d'essayer. Oui les émotions sont fortes, à la fois envers ce peuple, et dans cette histoire aussi sur des modèles d'Humanité.
Comme je te l'ai dit sur ton billet précédent, j'ai vu ce film, il y a déjà quelques mois, et je l'ai beaucoup aimé. Ceux qui ne le connaissent pas, surtout allez le voir ! Je n'ai pas lu le livre. Peut-être le lirai-je. On dit qu'il vaut mieux d'abord voir le film, et ensuite lire le livre. Dans l'autre sens, nous sommes souvent déçus, car le film est forcément un condensé du livre. Voilà... Belle fin de soirée à toi, douce Kat. Gros bisous.
Je ne connais ni le film ni le livre mais quand je vois la vidéo et lis les commentaires j'ai vraiment envie de combler cette lacune. Bonne journée Kat
Je n'ai pas encore vu, mais ton post me fait souvenir d'un très beau film chinois "le cerf-volant bleu", merveille de poésie, de tendresse et de retenue, avec cet intimisme né du détail et des silences entre le vieil homme et l'enfant.
Oui Françoise, le film est souvent un condensé du livre, tu as raison, mais je pense qu'il y aussi le fait qu'en lisant un livre on s'imagine forcément les personnages, on leur donne dans nos têtes une image qui ne peut pas coller, ou rarement, avec celle des acteurs du film. L'inverse est plus facile. Je lirai donc "les cerfs-volants de Kaboul" avec les visages de ceux que l'on m'a donné à voir, j'aurai en plus plaisir à les retrouver.
Jorge, ton commentaire me ramène à l'émotion que j'ai perçue en lisant ton article sur tes retrouvailles avec ton "professeur" de guitare, quel moment d'émotions que tu as su si bien faire partager tant il était vécu.
13 commentaires:
La première ce matin, c'est inhabituel...
Dois je ouvrir la page ou partir sur la pointe des pieds?
Je l'ouvre pour dire combien je suis touchée par les livres de Khaled Hosseini, par le film et par les amis venus d'Afghanistan il y a longtemps déjà pour dire combien je me sens proche de ce peuple et dire mon impuissance...
Je n'ai pas vu le film, mais lu le livre qui m'a beaucoup touchée, c'est bien écrit et c'est aussi une très belle histoire...bonne journée
Sourire Nina, prem's, j'ai depuis hier soir le projet de lire ce livre. Compliquée souvent la relation "livre/film", mais j'ai envie d'essayer. Oui les émotions sont fortes, à la fois envers ce peuple, et dans cette histoire aussi sur des modèles d'Humanité.
Merci Rénica pour ton passage, bonne soirée à toi.
Comme je te l'ai dit sur ton billet précédent, j'ai vu ce film, il y a déjà quelques mois, et je l'ai beaucoup aimé.
Ceux qui ne le connaissent pas, surtout allez le voir !
Je n'ai pas lu le livre. Peut-être le lirai-je. On dit qu'il vaut mieux d'abord voir le film, et ensuite lire le livre. Dans l'autre sens, nous sommes souvent déçus, car le film est forcément un condensé du livre.
Voilà...
Belle fin de soirée à toi, douce Kat.
Gros bisous.
je ne sais rien de tes mots à venir
ni des vents qui les porteront
mais je rêve déjà des ciels
qui les porteront...
Je ne connais ni le film ni le livre mais quand je vois la vidéo et lis les commentaires j'ai vraiment envie de combler cette lacune.
Bonne journée Kat
Je n'ai pas encore vu, mais ton post me fait souvenir d'un très beau film chinois "le cerf-volant bleu", merveille de poésie, de tendresse et de retenue, avec cet intimisme né du détail et des silences entre le vieil homme et l'enfant.
Oui Françoise, le film est souvent un condensé du livre, tu as raison, mais je pense qu'il y aussi le fait qu'en lisant un livre on s'imagine forcément les personnages, on leur donne dans nos têtes une image qui ne peut pas coller, ou rarement, avec celle des acteurs du film. L'inverse est plus facile. Je lirai donc "les cerfs-volants de Kaboul" avec les visages de ceux que l'on m'a donné à voir, j'aurai en plus plaisir à les retrouver.
Moments égarés, merci, tes ciels m'ont si souvent portée, bon augure donc...
Pas de lacune, Au fil de mes rêveries, juste des envies et des plaisirs à partager, merci pour tes mots.
Jorge, ton commentaire me ramène à l'émotion que j'ai perçue en lisant ton article sur tes retrouvailles avec ton "professeur" de guitare, quel moment d'émotions que tu as su si bien faire partager tant il était vécu.
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