
Se laissant porter par l’onde, gouvernail de sa vie.
Dans les pires moments, les moments de doutes,
Elle se dit qu’un arbre dans la forêt s’il n’existait pas
Ne ferait pas d’ombre à l’arbre d’à côté.
Puis, elle se rassure, s’enracine dans son reflet,
Et réalise que dans ce cas, la forêt n’existerait pas…
L’effet papillon résonne à ses oreilles,
Elle tient dans sa main son Destin,
Elle ose aller au devant d’elle-même,
Elle cherche sa clairière et s’y trouvera…
(Merci encore... à Luc)
2 commentaires:
Elle se voulait aussi longiligne et imperturbable que sa forêt...
On devinait dans leurs reflets les vagues qui les avaient dessinés...
Elle se voulait... mais elle l'était... profondément.
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