www.altphotos.comLe temps physique
Et le temps psychologique…
Des heures qui paraissent des secondes,
Des minutes qui paraissent des siècles…
Le plaisir ou l’angoisse
Teintent inexorablement…
Dommage que le ressenti
Ne puisse s’inverser…
Le contraire eût été préférable…
10 commentaires:
S'il n'y avait pas l'irréversibilité, qu'est-ce qui aurait du goût ? Pas nos engagements, pas nos paroles, pas nos regards. Le poids des regrets et des remords est le prix à payer. D'autant que si l'angoisse succède au plaisir, un nouveau plaisir vainqueur de l'angoisse, intensifié par cette épreuve, installe son royaume, même éphémère.
Désolé mais les cloches tintent et les cheveux se teintent...de gris hélas !
Oui en effet, quelle heure est-il ?
Il est trop tard...ou bien il est l'éternité ?
Oui c'est vrai En passant, je voulais juste dire, paradoxe, qu'il aurait été plus agréable que les moments agréables passent lentement...
Sourire Jorge, je ne reviens pas sur le temps qui passe, mais sur la façon dont nous le percevons, les cheveux blancs devenant toujours blancs...
Superbe question Jorge, j'aime beaucoup, il n'est jamais trop tard dit-on, alors à nous l'éternité...
Ah! eh bien moi si, le temps qui passe et comment on le passe et il semble que les choses s'accélèrent, c'est purement subjectif mais réel
Bon, je vois que pour valider mon message je dois rentrer un mot de passe qui est "cencul"
Qu'ai-je fait pour mériter ça ???
Rire Jorge, c'est vrai que souvent ces mots de passe ont quelque chose d'étonnant...
C'est vrai, le temps passe trop vite, ou bien passe trop lentement... Il passe trop lentement lorsque nous attendons avec impatience un certain événement, et lorsque nous sommes au cœur de cet événement, le temps s'accélère et nous n'avons pas le temps d'en profiter.
Ne dit-on pas que le meilleur moment est celui qui précède le moment tant attendu ? Mais c'est une autre histoire...
Belle journée à toi, Kat Imini.
Je t'embrasse fort.
PS : je ne peux m'empêcher de nous imaginer toutes deux dans la cour de ce fameux Pt St Charles... sourire
Françoise, je vais centrer mon commentaire sur une chose qui m'étonne, depuis le début où nous nous "parlons", je t'ai dit la proximité que je sentais avec toi, sans savoir d'où tu étais, souviens toi je t'avais même dit que tu avais le même prénom que ma soeur aîné, c'est drôle le hasard, nous avons indéniablement partagé des lieux, même si nous ne nous sommes pas cotoyées à l'époque au point de nous souvenir de nous. Je t'embrasse fort.
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