www.altphotos.comElle s’accroche à lui,
Comme à ses rêves d’enfant,
Elle s’accroche à ses convictions,
A ce qu’elle sait
Au plus profond d’elle-même,
Son cheval de bataille,
Ce lien avec elle-même…
Si elle le lâchait,
Elle se perdrait…
Elle le suit même sous l’eau,
Inconsciente de cette apnée choisie…
Qui la laisse encore vivante.
Sans lui,
Le manque d’oxygène
Serait criant…
Elle ne se lâchera pas,
Jamais…
Cette petite fille sur un manège,
Elle lui tient la main,
Sur l’encolure…
7 commentaires:
Le cheval nous ramène à nous et nous mène au-delà de nous. Peut-être est-il cette énergie que nous contenons et qui ne demande qu'à s'affirmer...
Du cheval encore ?
Chevaleresque ou chevaline ? Et sous l'eau, qui plus est !
Bon, ceci dit si elle espère survivre sous l'eau grace à ce subterfuge, c'est donc qu'elle a la foi, la vraie...la seule qui sauve !
(cf "y'a qu'la foi qui sauve" du regretté François Béranger)
Et pourtant, quelquefois, lâcher la bride, se laisser mener au gré de nos envies, sans attache, sans craindre de se mouiller, des bourrasques et des pertes d'équilibre peut être bénéfique pour de nouveaux départs, de nouvelles expériences enrichissantes.
L'énergie au galop oui En passant, elle est trop souvent contenue...
Bien sûr qu'elle a la foi, la vraie, la seule qui sauve, sinon elle ne serait plus là pour en parler... Je t'embrasse Jorge sans rancune pour tes goûts "chevalins"... Sourire
Oui tu as raison Autrement moi, mais son cheval de bataille, il ne faut pas le lâcher,je pense, il ne nous empêche d'aller nulle part, il nous permet juste d'y aller entier... Bises à toi
Ah ! Ah ! c'est pour ça que j'ai de grandes dents...
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