www.altphotos.comClairière d’eau…
Le bois s’abreuve et se multiplie…
Les reflets se mirent et diffusent…
Les arbres prolongent leurs racines
Et viennent se noyer du ciel rougissant…
La terre s’écarquille de cils d’herbe…
Et les cygnes n’ont rien de trompeur…
La nuit va tomber
Le soleil s’en relèvera…
11 commentaires:
En passant par la clairière
J'ai moi aussi recouru aux arbres morts pour évoquer ce soir la nature qui s'endort
Et l'âme de Verlaine
Chaque saison possède ses charmes, ses luimères ses couleurs...
Sourire Jorge, je vais de ce pas te lire comme tous les jours, avec toujours autant de plaisir. Je t'embrasse.
Bien sûr, le soleil s'en relèvera, autant de fois qu'il le faudra... l'ombre et la lumière se complétant toujours... et ayant besoin l'une de l'autre.
Bonne soirée, Kat...
Les deux cygnes, entre insouciance et assurance, ironisent de leurs courbes face aux verticales et aux fouillis qui se mirent dans l'eau sans pouvoir s'y déplacer. Les deux signent avec discrétion l'importance du mouvement, la légèreté du passage, la vie qui se plaît à jour d'elle-même.
Encore une fois, c'est très juste ce que tu dis Françoise, très juste, merci de tes passages et de tes empreintes laissées qui me touchent. Je t'embrasse.
Que dire après "Les deux signent avec discrétion l'importance du mouvement, la légèreté du passage, la vie qui se plaît à jour d'elle-même.", juste merci.
et si c'était en admirant l'envers des choses que l'Homme avait imaginé son éternité?
Bonne question Luc... Regarder dans le miroir inverse tout, même nos gestes et nous en devenons malhabiles mais curieux, l'autre côté du miroir... Je t'embrasse.
Cette photo représente assez bien ma perception du monde le matin à mon réveil...
Un peu embrumée le matin Autrement moi ? C'est joli la brume...
un peu ? Et bien j'ai un témoin qui pourrait témoigner de mes brumes du matin qui l'amuse beaucoup...
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