dimanche 6 avril 2008

Le mobile...

Suspendue…
Comme un avion, mais pas sans « Elle »,
Bien au contraire.
Le moteur vrombissant…
Mais suspendue,
Dans le temps et dans son vol…
Elle va battre des pieds et des jambes,
Faire des ciseaux,
Couper ce fil…
Et s’élancer sans piste,
Vers ailleurs…
Supprimant par là même,
Le mobile du meurtre de sa vie…

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Peu importe la force du moteur
S'il donne des ailes à son Elle
Ils traverseront mers et continents
Traverseront le miroir de leurs yeux
Et connaîtront le pays des merveilles...

luc

Kat Imini a dit…

Oui peu importe la force du moteur, merci de ce joli passage Luc.