mercredi 29 octobre 2014

Une semaine à l'Île de Ré... (6)

En bateau, s'il vous plait !
 





3 commentaires:

jeff a dit…

Tu viens sur ma page me parler de photos et je me pose la question sur Pourquoi avoir cette envie de "capturer" l'instant présent et le figer sur un écran (il y a quelques temps sur du papier photo) ? Les images ont ce pouvoir de se passer de mots... mais à force de "figer" les instants colorés de notre existence, n'y a-t-il pas quelque part caché au fond de nous, cette peur que nous sommes de passage, éphémères dans l'échelle du temps ? Les images hypnotisent, subliment voire sont parfois cachés et subliminales, créent de l'émotion, des sensations... mais peuvent aussi isoler, nous amener à devenir "autistes", auto-érotisés par une société qui ne cherche qu'à nous faire consommer, tels des individus "zombies" guidés par la pub, les séries télévisées et les réality show... Avant c'était mieux, je n'y crois pas une seconde, mais aujourd'hui et demain seront-ils synonymes de liberté ?
Bref... toujours perdu dans mes questions existentielles, je pourrais presque oublier que tes photographies sont aussi ton regard, ta sensibilité, ton témoignage et que je viens de voyager sur l'eau l'espace de quelques photos...
Bises Kat Imini ;-)

Françoise a dit…

Oui, les couleurs sont belles, mais sur ces photos, le soleil est déjà plus haut dans le ciel.
Merci pour la balade en bateau, Kat. :-)
Je t'embrasse fort.

Kat Imini a dit…

Jeff, non personnellement je ne ressens pas l'éphémère de ma vie à travers les photos, ou du moins je n'essaie pas de le contredire. Mortelle je suis, cela ne m'empêche en rien (bien au contraire même) de m'émerveiller et d'avoir envie de revoir les "merveilles" même après. Les photos touchent, émeuvent, font voyager, donnent envie... Que de raisons de ne pas s'en priver. D'ailleurs, tu as un œil qui me ravit quand je vais sur ton blog. Toi aussi tu me fais voyager. Bises Jeff et à bientôt.

Mais tu sais Françoise, la balade en bateau n'est pas finie. Je t'embrasse fort aussi. (j'ai un vrai problème : pour moi il y a deux ailes à ballade, rire).