Miroir, Ô mon beau miroir…
Elle n’est pas dans cette interrogation…
La pomme empoisonnée est dans ses pensées…
Ce n’est pas son image au miroir qu’elle cherche…
Son œil regarde dehors,
Comment est-elle perçue ?...
Comment la voit-On ?...
Elle traque un mur de résonance…
Qui la renverrait dedans…
Elle se « squashe »
Moitié voyante,
Moitié extrêmement lucide…
Cyclopéenne de l’intérieur…
Elle n’est pas dans cette interrogation…
La pomme empoisonnée est dans ses pensées…
Ce n’est pas son image au miroir qu’elle cherche…
Son œil regarde dehors,
Comment est-elle perçue ?...
Comment la voit-On ?...
Elle traque un mur de résonance…
Qui la renverrait dedans…
Elle se « squashe »
Moitié voyante,
Moitié extrêmement lucide…
Cyclopéenne de l’intérieur…
4 commentaires:
Belle maniere de se chercher.....c'est un parcours complexe mais sans doute necessaire !
Merci pour ce moment de mots.
Bises.
Marie
Kat Imini,
Si le soleil frappe la surface réfléchissante du miroir "brazaïen", les rayons renvoyés entraîneront-ils à la cécité le troisième œil ?
S’il est frontal probable ;
S’il est ombilical, elle ne perdra pas son intégrité, cet œil là cache métaphoriquement la matrice, l’évoque.
La cyclopéenne voit tout ce qui doit-être détruit pour faire jaillir la vie de la mort, la beauté de la décomposition.
Le cyclope, celui qui a l’œil ouvert, le gauche, le féminin de la femme, construit l’éternité, naissance, naissance et naissance. Permanence ?
Cyclopéenne de l’intérieur ? oui ! elle n’écrase toutefois pas son écho.
Bonsoir,
Jean
Sourire Marie, oui sans aucun doute nécessaire, je t'embrasse fort.
Oui Jean, elle raisonne mais résonne...
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