www.altphotos.comLe temps qui passe…
Faut-il courir après
Ou le laisser passer ?...
Il est tout relatif
Parfois interminable
Parfois si fugace…
Il est des dates
Que l’on ne voudrait pas voir arriver
Ce sont les mêmes
Dont on est heureux qu’elles soient passées
Quelle qu’en soit l’issue…
C’est fait, au moins…
Il en est d’autres
Qui se rappellent chaque année
Anniversaire d’un moment apprécié…
Quoi qu’il en soit, il file
Autant que ce ne soit pas
Du mauvais coton…
14 commentaires:
Le remplir du mieux de nous est peut-être le meilleur moyen de lui limer les dents...
Sourire du soir, Kat !
J'abonde dans le sens d'Anne - je n'aurais d'ailleurs su mieux dire.
Je t'embrasse fort.
L'oiseau
Les ogres logent dans les impasses.
Les horloges implacables passent.
Impossible de sauter par-dessus
ne serait qu'une seconde.
Bleu, noir, jaune soleil,
l'ogre avance à pas de loup
de panthère de comète.
On ne peut le prendre au lasso
car il n'a rien d'un sot:
invisible il peut être ou pesant
ou plus léger que le vent,
tout dépend de notre cerveau lent
ou rapide à trier les souvenirs...
Cela ne se peut: l'ogre fait le tri
et de nous rit,
désemparés que nous sommes
d'être contrôlés par une
mécanique horloge.
On se pend... d'ule seule main.
On se pend au temps
et nous voilà devenus grand
grand orgue à musique magistrale.
Merci tant et tant,
ô magistral Temps.
Le tout est de ne pas se laisser dépasser...
Le vivre pleinement sans pendule...
il est toutes les heures
du temps des gens aimés
peu importe l'espace
où l'on est exilé...
bisous ce soir
de la ville de Québec
Sourire du soir, les dents limés, Anne, bises à toi.
Là un peu facile L'oiseau... Sourire, je te taquine, j'avoue qu'en lisant Anne je fais comme toi. Je t'embrasse fort.
L'ogre du temps Karl, ou le temps de l'ogre, qui peut savoir...
Tu as raison Nina, ne pas se laisser dépasser sans forcément courir après, prendre Son temps en quelque sorte.
Moments égarés, qui n'ont jamais été perdus, tu as raison, tes bisous de la ville de Québec me font très plaisir, reçois une brassée de bisous de ma ville de Lyon, à bientôt j'espère Luc.
on ne peut que le subir le temps qui passe...il faudrait savoir profiter de chaque instant, ce qui n'est pas toujours simple à faire...
Profiter de chaque instant n'est pas forcément facile, mais effectivement c'est la meilleure manière de ne pas le subir, mais de le vivre ce fameux temps qui passe. (mot de validation : queth).
On le compte, le mesure, le calcule et durant ce temps, il file sans crier gare jusqu'à ce qu'un réveil douloureux nous fasse découvrir, qu'il est déjà trop tard. Alors, on verra bien demain...
Autrement moi, "un réveil douloureux" qui sonne et nous réveille. Je connais et j'essaie de ne pas l'oublier pour savourer chaque seconde, j'essaie, même si je ne supporte pas le "tic tac", heureuse de te relire ici, sincèrement.
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