samedi 25 octobre 2008

Floraison d'automne...

Un cadeau auquel je tiens,
Un arbre de maison…
Qui fleurit et fleurit encore
Depuis quelques semaines…
Mais c’est l’automne
Même si ses fleurs
Me font penser
A un printemps japonais…

Et les fleurs tombent…
Mais quelle merveille
Quelle finesse,
La nature est décidément étonnante…
Toujours…

9 commentaires:

Jorge a dit…

Oui, c'est le gracieux tamaya que l'on trouve dans les bords de chemin un peu humides à Madagascar, à la Réunion...
C'estune variété de bégonia sauvage, à la fleur élégante comme un papillon...

Kat Imini a dit…

Merci pour ces détails Jorge, étonnant arbre avec qui j'ai une histoire affective forte, je t'embrasse

Françoise a dit…

La nature est étonnante, oui, et il faut savoir savourer ce qu'elle nous offre.
Ce tamaya (je viens de lire...) est très joli, très fin, très délicat.
Belle fin de dimanche à toi, Kat Imini. Je t'embrasse.

moments égarés a dit…

Comment résister à la beauté d'une fleur qui emprunte la forme la forme d'un cour qui explose sur la vie? Une fleur qui ressemble à une parente de chez moi qu'on appelle "coeur saignant" en raison de son rose plus affirmée...
N'empêche... sans doute est-ce en raison de mon âge, mais je ne peux ignorer la beauté du grain du bois avec ses veinures plus ou moins marquées par le temps sur laquelle la pétale repose... l'éphémère et sa promesse de vie... la pérennité de ce qui a vécu et continu de vivre autrement...

Jorge a dit…

ouin j'ai remarqué aussi et aimé le grain du bois patiné qui a vécu, comme les mains ridées qui disent une vie de labeur...

Jorge a dit…

ouin ouin

Kat Imini a dit…

Savourer le détail de la nature ou d'un livre, d'une musique, d'un texte, tout ce que tu fais très bien "chez toi" Françoise, le goût de la vie je pense. Je t'embrasse bonne semaine à toi

Kat Imini a dit…

Oui "l", merci de votre passage et bienvenue ici, la pérennité, forme de vie éternelle, la vie qui se poursuit, qui s'éternise, juste parce qu'elle est encore perceptible...

Kat Imini a dit…

Jorge (rire pour la correction du "ouin", le gendarme se lâche... ), tu as vu juste sur la vie de labeur, voir mon poste de ce soir, merci à toi et à "l" de me l'avoir insufflé.