Photo libre de droit : http://www.stockvault.netQuelle belle saison que l’automne…
Même si ces trois mois
Peu à peu
Viennent à bout
Des jours,
De la végétation…
Prépare un endormissement de la nature,
L’hiver…
Mais actuellement,
La nature flamboie,
Le moindre arbre rougit,
Se dore,
Toutes les nuances chaudes
Se partagent la palette du décor…
Comme un feu…
De feuilles flammes…
17 commentaires:
Déjà l'apoptose !
Oui, hein quand octobre flamboie
et que les forêts se parent de rouge, d'orange et de jaune, c'est probablement sous le soleil la saison la plus colorée, la plus émouvante aussi...
Chez moi, l'automne s'essouffle.. ses feuilles colorent le sol de jaunes, de rouges, d"orangés, d'ocres... les cris de la vie qui craquent sous nos pas défiant le silence blanc et froid de nos hivers... J'y déambule quasi comme un enfant humant les dernières odeurs de la terre avant qu'elles ne surgèlent...
Bel automne
Le nom apoptose fait référence à la chute programmée des feuilles à l'automne : apo pour éloignement, ptose pour chute... Donc oui, sourire, déjà l'apoptose...
Emouvante je la ressens comme celà aussi Jorge...
Luc, c'est vrai que chez toi l'hiver est plus rude, le contraste sans doute plus saisissant, bel automne à toi aussi, toujours heureuse de te lire ici et chez toi aussi...
Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres,
Adieu vive clarté de nos étés trop courts....
CB
Avec tout le respect que j'ai pour Charles... je conviens avec lui que, chez nous, les nuits d'hiver sont longues mais, de toute évidence, il n'a guère connu la blanche virginité de la neige qui excite nos pleines lunes et plissent nos regards sur nos implacables jours...
Rien à voir avec les ténèbres et la mort... juste le silence, la beauté d'un exil imposé qui rendra le printemps et l'été d'autant plus sensuels... juste le goût d'hiverner ses amours... là où les saisons importent si peu... là où elles enfantent de toutes les autres à venir...
Oui, Luc, je n'en doute pas.
Vos saisons sont différentes mais la Nature est belle, quoi qu'il en soit, et d'ailleurs, j'aime bien que les étés soient chauds et que les hivers soient froids, rien de pire que l'inversion que nous subissons depuis quelques années...
le mot « apoptose » (apoptosis) pour décrire le phénomène de mort cellulaire naturelle. Ce mot provient d'une locution grecque évoquant la chute des feuilles. Elle avait déjà été employée en médecine par Hippocrate de Kos (460-377 av. J.C.)
La poésie de l'automne apocaliptique des cellules !
apocalyptique, non ?
Oui Jean apocalyptique, un "i" grec... normal, sourire, mais vraiment rien de grave, en cas d'apocalypse cela doit bien peu importer...
non mais il fallait bien que le gendarme gendarme un peu...sinon passé les bornes, il n'y a plus de limites !
Et mon "automne" est une réponse à "feuille à feuille"
C'est drôle Jorge, intuitivement je l'avais senti... Je t'embrasse
très joli blog, bravo.
non, pas joli, intéressant; l'un n'empeche pas l'autre
Merci arpège et bienvenue...
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