Le phare des Poulains, Il n'est plus occupé, Mais le dernier gardien, Possédant une méhari, Était obligé de l'encorder autour du phare En cas de tempête... |
Cet îlot des Poulains N'est accessible qu'à marée basse... |
Même par beau temps, Il règne une sensation de bout du monde... |
Même par beau temps, L'océan rappelle qu'il est le maître... |
Il partage, cependant, la vedette Avec la flore omniprésente... |
Sarah Bernhardt, Tombée sous le charme de cet endroit, Avait acquis ce fortin, Puis fait construire une villa, Elle y venait régulièrement... |
Ce très bel endroit doit être sublimé par la tempête, Il ne manquait qu'elle... |
3 commentaires:
Effectivement, il ne manquait qu'elle - j'aurais aimé voir tes photos par gros temps. Tes images de Belle-Ile donnent vraiment envie d'y prévoir un séjour.
Je t'embrasse, Kat.
Promis : un jour j'y vais.
Heureuse de te lire ici The Bluebird, j'avais dans ma tête avant de partir à Belle Île "commander" une tempête, je ne l'ai pas eue, un signe sans doute qu'il faut que j'y retourne, tant mieux ! Je t'embrasse fort.
Anne, tu as raison, il faut se faire des promesses, de belles promesses, et puis un jour elles se réalisent, choses promises, choses dues. Bises à toi.
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