vendredi 18 décembre 2009

C'est l'intention qui compte...

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C’est l’intention qui compte…
L’intention est au début,
Genèse…
Si cet assemblage de planches
A été conçu pour flotter,
Pour voguer…
Pour partir
C’est un radeau…
Si cet assemblage de planches
A rompu ses amarres,
C’est un ponton…
Un ponton peut-il avoir une intention ?...
A l’usure sans doute…

7 commentaires:

anne des ocreries a dit…

Qu'importe le nom de l'objet ? puisque ce qui importe vraiment c'est l'usage qu'on en fait...la voilà, du coup, l'intention. Ce n'est pas le ponton qui en a une, c'est celui qui va l'utiliser à telles ou telles fins....
Reste à savoir si la fin justifie les moyens, mais ça c'est encore une autre histoire, pas vrai ? :))

Anonyme a dit…

I-2 ?
Touché !
I-1 ?
Coulé !
ficera

Kat Imini a dit…

Oui Anne c'est juste, mais cela signifie que les mots sont temporaires et se modifient en fonction de ce que l'on fait des objets, ce n'est pas faux, un vase peut devenir une arme s'il est mal utilisé. Nous voilà bien philosophes, sourire. J'aime "parler" avec toi, tu ouvres des portes, je t'embrasse.

Sourire Ficera, une bataille navale, quelle bonne idée ! Mais sans mort, juste pour le plaisir de la déduction. Merci de ton passage ici, sincèrement.

DustyStrings a dit…

Je ne suis plus un ponton.
Mais suis-je déjà un radeau ?

Karl Chaboum a dit…

Les apparences sont trompeuses ... Moi j'ai tout de suite reconnu une famille de cure-dents en vacances. Ils sont pointus et modestes à la fois. Ce sont des rats d'eau qui planent sur un lit de bois; en fait, c'est pour eux un délectable rince-bouche.

Kat, ce que tu me fais creuses les méninges!

Kat Imini a dit…

DustyStrings, tant que tu flottes, tout va bien, un radeau, un bateau, une barque, peu importe. Très heureuse de te lire ici en tous cas.

Kat Imini a dit…

Karl, tu es incroyable, je ne les avais pas vus moi non plus, merci d'être venu me le dire sinon je serais passée à côté.