jeudi 8 mai 2008

Croquée...

Coups de crayon…
Coups leurres…
Pastels estompés,
Et son arrogance,
Sa bouche rouge,
Son regard défiant…
Sa tête, découverte,
Elle s’offre et se refuse,
Ses épaules nues, expressives,
Ses seins affleurant.
En appui sur ses mains,
Lionne impulsive,
Drapée de ses hésitations,
Elle se dévoile pour tant…
J’aime son port de tête,
J’aime ses douceurs tues,
Et ses cris silencieux…
Cette sensualité sans ostentation,
Qui appelle le croc et le qui… ?

1 commentaire:

Jorge a dit…

mais aussi tout le poids de la chimiothérapie....
jorge