vendredi 11 juillet 2008

La fourmi qui avait des Elles...

Elle oeuvrait à droite à gauche, sans répit,
Toujours vaillante, disponible,
Elle s’affairait pour le bien commun…
Elle aimait ça,
Elle avait pris, toute petite, l’habitude…
De se rendre utile,
De presque justifier sa présence,
Elle aimait aussi recueillir le sourire,
Le regard chaleureux,
Que son attitude avait suscités.
Elle aimait les autres,
Elle savait le besoin qu’elle avait d’eux,
Elle n’avait pas su le besoin qu’ils avaient d’elle…
Alors, bien qu’occupée,
Elle avait pris le temps aussi,
De se laisser pousser des Elles,
Ainsi, elle goûtait
Aux ici
Aux ailleurs,
Une façon de s’aimer elle,
De prendre soin de ses rêves,
De se donner accès à des mondes parallAiles…

9 commentaires:

jean-claude a dit…

Je suis le premier, mérite-je un prix?

jean-claude a dit…

j'attends les autres, espèrons qu'ils ne soient pas l'enfer... :)

Anonyme a dit…

Nous avons dû nous croiser, vous étiez chez moi et me voilà chez vous. Mais nous sommes toujours seuls du fait que nous ne nous sommes pas rencontrés. Par quel méridien êtes-vous passée?

jean-claude a dit…

Quand vous dormez j'espère que vous le faites sur le ventre, afin de ne pas fripper vos elles. Elles risqueraient de vous le faire savoir au petit matin.

Kat Imini a dit…

Et bien Faramineux, que de commentaires, vous vous laissez aussi pousser des ailes ? Vous êtes aussi le second et le quatrième ce qui annule le prix du premier, sourire.

Kat Imini a dit…

Worldgaze, la téléportation sur la toile est appelée à régner... Merci pour votre blog et votre passage...

Kat Imini a dit…

Quant à mes Elles Faramineux, elles sont infroissables...

Unknown a dit…

Cette fourmi me rappelle bien des choses.....le surnom serait-il donc le bon.

Elle a pris son envol et ne souhaite donc pas s'arrêter et poursuivre cet elan. Elle sait sans doute que ceux qui l'aiment la pousse a voler.

Merci.

Kat Imini a dit…

Tu sais Marie, je te dois une vérité, je n'ai pas écrit ce texte à ton sujet, mais à mon sujet, en lisant ton commentaire, j'ai pleuré, je pleure encore, car j'ai compris encore plus clairement ce qui nous rapprochait. Je t'aime fort et t'embrasse aussi fort.